 |
Arbeit für den Frieden Travail pour la Paix Cérémonies officielles Offizielle Festlichkeiten 21 juillet 2011 - 21. Juli 2011 |
 |
|
 Monument aux 53 000 victimes de l'Allemagne nazie : hommes, femmes, enfants, de juin 1941 à août 1944. |
10 h 00 Cérémonie de dépôt de gerbe. Feierlichkeit der Kranzniederlegungen. « Monument des Déportés » Royallieu.
*
|
 |
 |
Monument avant le dépôt de gerbe. |
Monument après le dépôt de gerbe. |
Amour, Liebe - Humanité, Menschlichkeit - Paix, Frieden.
 |
10 h 45 Cérémonie de dépôt de gerbe Feierlichkeit der Kranzniederlegungen. « Monument aux morts » place Saint-Jacques Compiègne.
*
|
Monument aux morts adossé à l'église Saint-Jacques.
Discours des autorités.
Dépôt de roses et de bougies par les jeunes.
Dépôt de gerbe par les autorités et les jeunes.
 |
 |
Recueillement. |
Remerciements. |
Départ en cortège et arrivée à l'Hôtel-de-Ville.
Réception dans le Salon d'Honneur de l'Hôtel-de-Ville.
 |
19 h 00 Soirée franco-allemande « Maison de l'Europe » Compiègne.
|
Accueil des invités par les musiciens.
 |
 |
Écoute des discours. |
Les autorités dévoilent la plaque. |
La nombreuse assistance et les discours.
Spectacle donné par les jeunes.
© Photos (41) : Jehan Sauval-Schmutzler (21 juillet 2011).
- Hors programme officiel -
 Visite du « Mémorial de l'internement et de la déportation ». |
Monument à la gloire des combattants 1914-1918 adossé au Mémorial. |
 Camp de Royallieu.
Un camp dont l'histoire relève de la politique générale de collaboration entre Vichy et les Allemands.
La caserne militaire de Royallieu, créée en 1913, s'étendait jusqu'à 2006 sur 16 hectares. En 1939, elle sert d'hôpital puis, en juin 1940, se transforme en camp où l'armée allemande rassemble des soldats français et britaniques faits prisonniers. En 1941, le « Frontstalag 122 » interne des prisonniers politiques et constitue des réserves d'otages.
(voir rubrique film : CAMP C - Compiègne-Royallieu)
|
 |
 |
Une partie du « Mur des Noms ». |
Sur ce « Mur » de verre 43 553 noms sont gravés. |
Depuis le 23 février 2008, 50 000 visiteurs dont 10 000 élèves, du primaire aux études supérieures ont franchi le seuil de ce lieu d'histoire et de mémoire. Les fonds s'enrichissent de donations alors que de nombreux renseignements parviennent jour après jour, notamment afin de compléter le « Mur des Noms ».
Les trois derniers baraquements (sur les 25 du camp) servant de Musée.
 |
 |
Crimes pour lesquels ont été jugés les chefs et gardiens du camp de Royallieu. |
Texte de Robert DESNOS, poète mort en déportation en juin 1945. |
Membre d'un réseau de résistance, le poète Robert DESNOS (1900-1945) est arrêté en février 1944, interné à Royallieu puis déporté au camp de TEREZIN (Tchécoslovaquie).
Bâtiment abritant une partie du tunnel ayant servi à l'évasion du 22 juin 1942.
L'évasion la plus connue se produit le 22 juin 1942. Ce jour là, 19 communistes ont pu fuir par un tunnel de 48 mètres de long, creusé des semaines durant. Onze d'entre eux ne seront jamais repris. L'évasion fait grand bruit dans et à l'extérieur du camp.
© Photos (9) : Jehan Sauval-Schmutzler (21 juillet 2011).
Plan du camp de Royallieu. - © Document André Poirmeur.

Françoise
Sauval-Schmutzler